Un an et demi après Boston, nous avons revécu un événement des plus stressants. J'ai encore beaucoup de misère à trouver les mots pour en parler. J'étais à Ottawa hier. Dès que j'ai entendu la nouvelle d'une fusillade, j'ai pensé à Boston, au marathon, au lockdown et j'ai pleuré.
Quelques minutes plus tard, nous étions en confinement au travail. Ça a duré 4 h 30 environ... Je savais que mes enfants étaient en sécurité et mon mari aussi. Y'avait ça de bien.
Dans quel monde vivons-nous? Dans quel monde avons-nous décidé de mettre des enfants au monde. Sommes-nous en sécurité?
Je reviendrai en parler davantage prochainement. Courage à tous ceux qui ont été touchés par cette tragédie.
Changement de sujet... passez-vous l'Halloween?
RépondreSupprimerHihihi, oui! :) Sujet plus heureux.
RépondreSupprimerOui, c'est difficile de commenter sur un sujet qui de toutes évidences et avec raison est perturbant pour la personne qui l'a vécu! Et en plus, on ne peut même pas dire qu'on comprend parce que je suppose qu'il faut l'avoir vécu pour en saisir toute l'ampleur. Mettons que c'est plate que tu aies eu à subir ça deux fois! Je compâtis.
RépondreSupprimerBen voyons, c'est ce qu'on appelle être à la mauvaise place au mauvais moment! C'est vrai que c'est questionnant et inquiétant!
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